Manhattan, New York City

La vision de quartier parfaite, quoique très boho-industrielle de Washington Heights, produit un effet de coeur à travers ses rues parfois hasardeuses qui ne possède qu'un côté praticable en voiture. Bien que le trafique soit moindre, le problème se trouve dans les stationnements plutôt manquants, surtout pour le mini centre-ville où se retrouve la majorité des habitants. Le marché toujours rempli offre la vue la plus magnifique sur l'Hudson River du haut du petit pont qui se situe tout près, soit à quelques pas de là. Binoculaires sur place, un endroit très Manhattan, sans avoir le comble de la richesse. Car malgré tout, le quartier est abordable pour les familles, est très spacieux en ses choix de maisons et d'appartements, offre une jeunesse rafraîchissante qui laisse une ambiance hipster et d'art. Rien n'est mal placé, que ce soit les sculptures, les bâtiments ou les boutiques environnantes. Tout est calculé au moindre petit détail pour offrir une qualité de vie supérieur aux autres quartiers. Certes, vu sa présence humaine générale, ce quartier est surtout l'hôte de gens voulant se retirer de la société magique, et non pas s'y enfoncé.

Le trafique décourage la plupart des habitants d'Harlem d'y déménagé, simplement pour son côté pratique qui rappelle un centre-ville miniature. Toujours occupé, le quartier ne cesse de se faire entendre, par ses bruits de klaxons, ou se faire voir par ses billboards faisant rappeler l'effet New York. Généralement très jeune, ce quartier est en pleine effervescence, bondit de vie, ce qui se répercute sur les institutions à proximité, donnant un vent de fraîcheur à un quartier auparavant délaissé de Manhattan. Un bref soupire de renouveau qui flotte, malgré ses bâtiments qui sont loin d'être nouveau. Harlem possède, d'ailleurs, certaines rues qui sont plus étranges, avec des fairylights accrochés aux bâtiments pour éclairé la noirceur de la nuit et offrir des boutiques d'antiquaires et autre. Mais le meilleur est à découvrir. Le bâtiment abandonné au fond d'un rue est en réalité le camouflage du centre-ville des Magiciens. Brakebills se cache derrière, température toujours clémente, chaleur présente et protections au sommet de la technologie magique. Ce quartier est donc le centre-ville des Magiciens, non-seulement pour les banques qui semblent tous s'y trouver, mais aussi pour le choix de boutiques, les maisons et les appartements proposer.

Divisé en deux, le côté pratique et centre-ville est reconnu pour son côté vieux mais fonctionnel, l'industriel à son meilleur jour. Certes, Hell's Kitchen n'est pas un quartier simple et possède plusieurs couches grâce aux différentes cultures qui peuple ses rues. Des boutiques au timbre rustique qui donne envie de traverser la porte d'entrée pour mieux voir. Du métal, des écritures sur les fenêtres, tout pour plaire à un public difficile. Puis l'autre côté de la médaille qui montre des immeubles abandonnés avec le temps, qui est principalement délaissé du reste de la ville et qui fait presque tache avec le décor que tient à avoir le quartier. Pourtant, le tout fonctionne très bien, se mélange avec une confusion légère. Car ce quartier est plutôt abordable, ce qui semble choqué beaucoup, mais qui dit ancien, dit aussi moins cher. Il suffit d'être prêt pour les rénovations tous les quelques mois pour changer l'évier ou la toilette. Et surtout, de ne pas croire aux légendes des coins les plus noirs ou les lampadaires ne semblent pas fonctionner.

Le luxe s'affiche en tant que billboards, bâtiments restaurés et boutiques qui crient dollar à leur simple vision. Le grand quartier des affaires et de l'art, Chelsea, offre une vie idéale à ceux qui adore la vie new-yorkaise mais souhaite vivre dans une luxure moins industrielle et délabré que le reste de Manhattan. Il suffit de traversé une seule rue pour s'y rendre et constaté le charme et les restrictions qu'offre cette partie. L'herbe qui jaillit de certaine rue est un souffle nouveau pour un quartier principalement commercial, conçu pour faire vider le porte-feuille des résidents et touristes. L'ancienne ligne de train transformer en un magnifique parc où se promènent tous pour le plaisir d'être près de la nature. Attention aux créatures magiques qui trainent dans le coin le soir, qui se cache derrière les arbustes. Peut-être que le centre d'achat sera plus approprié pour le divertissement que les murs obscurs du parc le soir.

Les croyances et légendes sur ce quartier sont bien populaires et en grand nombre, dû à sa superficie dite petite. Quelques rues bien éclairés, sans être trop délabrés, qui donnent un petit charme parfait avec les fleurs à tous les coins de rues et sur les lampadaires. Des commerces joyeux, lumineux, remplis de vie. Personne ne déteste West Village, un quartier sympathique, où ils habiteraient si des logements se libéreraient, qui acceptent les animaux, qui semble en constant mouvant, comme toucher par une sorte de divinité. Ce qui est presque le cas. Car West Village est en réalité un des plus grand quartier de Manhattan, bien que ce ne soit pas montrer sur les maps. La magie qui empêche les humains de voir quoique ce soit, produit aussi un effet comme amplificateur de bonheur pour qu'ils ne voient pas en mal le si petit quartier. L'économie des boutiques presque toutes gérer par des magiciens, est pour le meilleur grâce à ce petit tour. Derrière les barrières se trouvent encore mieux; un monde magique qui se rend jusqu'à Brakebills tout prêt. Des maisons, des appartements, tout pour faire vivre les familles magiciennes de New York. Un secret bien gardé qui laisse les nouveaux magiciens ébahis.

L'ambiance traverse toutes les rues avec un bruit sonore percutant les tympans au maximum. La musique entraînante, donnant un air coloré à un quartier qui est calculé comme le pire de Manhattan, contenant la débauche, l'obscurité et l'illégalité. Un couvre-feu est suggéré, ce qui est plutôt étrange pour un quartier du grand Manhattan. L'activité de nuit, ceci dit, est encore plus grande que celle de jour, avec ses néons dans les rues, ses habitants en constant mouvement et ses boutiques fonctionnement généralement seulement le soir et la nuit. Les attraits du quartier varient, passant de la simple pizzeria jusqu'à l'évident tattoo shop. L'occulte venant prendre un heureux détour, des boutiques plus étrange et en vogue, comme celle de cristaux, s'installent petit à petit et prennent une place importante dans l'économie de ce quartier vieux-jeu. Les bâtiments à graffitis parfois abandonnés sont un véritable must, surtout lorsque des fêtes dites "underground" sont organisés dans de vieilles stations de métro. Vivre dans East Village ne coûte presque rien, les propriétaires ayant de la difficulté - ou presque - à louer ou vendre les logements et habitations du quartier.